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Avant de commencer

Par quel angle aborder son projet ?
Grande histoire, histoire familiale, société, psychologie, spiritualité, philosophie… les angles sont nombreux et se recoupent souvent.

Quel est le but du récit ?
– Témoigner d’une époque à travers ses expériences.
Hélène Viannay, l’instinct de résistance de l’Occupation à l’école des Glénans, Clarisse Feletin, Editions Pascal, 2004.
– Explorer son histoire familiale.
Un roman russe, Emmanuel Carrère, Folio, 2008.
– Donner sens à sa vie ou à une étape de sa vie.
La vie sans fards, Maryse Condé, JC Lattès, 2012.
– Transmettre ses savoirs d’ordre professionnel, humain, spirituel.
Histoire(s) d’espace, Jean-François Clervoy, astronaute de l’ESA, Jacob-Duvernet, 2009.
– Affirmer ses convictions.
Le chercheur d’absolu, Théodore Monod, Folio, 1997.

De quoi parler ?
– Une enfance : Une enfance créole, Patrick Chamoiseau, Folio, 1996.
– Une réflexion sur soi qui s’inscrit dans les racines familiales et se prolonge dans ce que l’auteur transmet à sa fille : Un roman français, Frédéric Beigbeder, Le Livre de Poche, 2010.
– Une expérience limitée dans le temps : Les tribulations d’une caissière, Anna Sam, Le Livre de Poche, 2009.
– Une vie par ordre chronologique : Johnny Cash : l’autobiographie, Johnny Cash, Castor Music, 2013.

Pour qui ?
Pour soi-même, ses enfants, petits-enfants ? Sa famille élargie, ses amis ? Ses clients ? Le grand public ? Savoir à qui l’on destine son récit permet de peaufiner l’écriture, de détailler ou non le contexte.

Avec quoi ?
– Ses souvenirs, ses témoignages.
– Ses documents personnels (lettres, photos etc.)
– Les souvenirs et témoignages d’autres personnes.
– D’autres documents.

 

« Autrefois, on connaissait ce mystère oublié de nos jours : le monde se compose de tessons qui s’éparpillent, c’est un obscur chaos incohérent que seule l’écriture peut maintenir. »

Imre Kertesz, Liquidation, Actes Sud, 2003.

 

Extraits

06 48 93 89 46